Le Bulletin ça ira: historiographie de la revue d'avant-garde du même nom (1920-1923) et des éditions (Michaux, Pansaers e.a.)
Les Mémoires à dada de Paul Neuhuys (Bruxelles, Le Cri, 1996) témoignent de nos fréquents entretiens sur le maniérisme. Le 13 mars 1971 Neuhuys note dans son journal: Conversation intéressante chez Henri-Floris Jespers sur l'école de Ferrare, cette école...
Lire la suiteAnvers nous met les nerfs drôlement à l'envers Pour elle j'étais Pol “al de rest speelt geen rol” et comme un roi réduit à son coin de royaume qui ne peut plus serrer dans ses bras qu'un fantôme enfant de la tourmente aux quatre vents du ciel je tourne...
Lire la suiteLe poème liminaire d'Octavie semble bien confirmer dans les grandes lignes les travaux de Jean-Paul Weber (Genèse de la poétique, Gallimard, 1960). ■ Chaque écrivain choisit inconsciemment ses sources Pour l'un c'est un hameau pour l'autre une forêt un...
Lire la suiteLe recueil Octavie de Paul Neuhuys (1897-1984) a été achevé d'imprimer en septembre 1977. Composé en caractère Bookman c. 12 d'après une maquette typographique de Pierre Leguerrier, son tirage a été limité à 330 exemplaires sur papier Licorne VGZ numérotés...
Lire la suiteLettre de Ghelderode à Neuhuys, 23 juillet 1931. Collection asbl ça ira, Anvers. L'index de la Correspondance de Michel de Ghelderode est présenté sous la forme d'un volume attrayant, illustré de fac-similés de lettres autographes, qui révèlent l'écriture...
Lire la suitePortrait de Paul Neuhuys, gravure xylographique de Luc Boudens (2000) d'après un dessin de Floris Jespers (1921) à Michel de Ghelderode Chanson C’est un vendredi treize qu’avec le chiffonnier le rempailleur de chaises joua sa femme aux dés. Amélie était...
Lire la suiteRoland Beyen L’éloge n’est plus à faire de l'édition monumentale de la Correspondance de Michel de Ghelderode, établie et annotée par Roland Beyen. Publiant le dixième et dernier tome (623 pages), qui couvre les quinze derniers mois de la vie du dramaturge...
Lire la suitePortrait de Michel de Ghelderode dessiné et gravé sur bois par Pierre-Louis Flouquet, 1928 Que Paul Neuhuys avait contracté cette étrange affection que Jean Cocteau nommait solennellement “le mal rouge et or” est solidement attesté par sa correspondance...
Lire la suiteÉpaulé par Willy Koninckx (1900-1954), son ami de toujours, Paul Neuhuys relève en 1932 l'enseigne des éditions Ça ira qui avaient suspendu leurs activités en 1923. Le 21 juillet 1932, Ghelderode lui suggère de publier une étude sur « Clément Pansaers...
Lire la suiteC'est avec une profonde tristesse que Marie-Jeanne Dypréau, Thierry Neuhuys et moi nous nous sommes rendus hier midi, sous un pâle soleil hivernal, à l'église Saint-Laurent à Hove pour y assister à la célébration des obsèques d'Elza De Groodt, veuve de...
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