Le Bulletin ça ira: historiographie de la revue d'avant-garde du même nom (1920-1923) et des éditions (Michaux, Pansaers e.a.)
Le premier tome des Œ uvres complètes de Céline Arnauld et Paul Dermée (Paris, Classiques Garnier, Bibliothèque de littérature du XXe siècle, tome 9, 2013, 606 p.) est consacré à Céline Arnauld. Cette « scrupuleuse édition » (dixit Marc Dachy) est établie...
Lire la suiteMarc Dachy m'adresse la première livraison de Courrier Dada, datée du 7 janvier. Il annonce d'emblée la couleur: “Il sera fait une critique terrible de tous les livres, revues ou manuscrits envoyés à Marc Dachy”. À bon entendeur, salut ! Les éditions...
Lire la suiteLe 6 janvier, j'ai repris ici le beau texte de Michel de Ghelderode consacré à « La peinture mémoriale de Rachel Baes », paru dans la revue Empreintes de juin-juillet-août 1951. Dans la brève notice introductive, je précise: Ce numéro spécial présenté...
Lire la suiteLors de notre entrevue en présence de Thierry Neuhuys, avant-hier, nous avons, Philippe Dewolf et moi, brièvement évoqué les historiographies dominantes du surréalisme en Belgique et, en contrepoint, le cheminement de Marcel Lecomte sur les sentiers de...
Lire la suiteMarcel Lecomte chez lui ( photo : Georges Thiry) Un passionnant entretien avec Philipe Dewolf sur Marcel Lecomte, hier après-midi, m'incite à publier ici le texte que Paul Neuhuys lui consacra dans le numéro d'hommage de mai 1967 de Fantasmagie, (bulletin...
Lire la suitePortrait de Mihel de Ghelderode dessiné et travé sur bois par Roger Van Gindertael, 1925 Un jeune chercheur, Gerke van der Heide, me communique un texte que j'ignorais de Michel de Ghelderode: « La peinture mémoriale de Rachel Baes », paru in Empreintes...
Lire la suiteC'était aux bouches de l'Escaut Dans une vieille cité vide Qui épinglait le ciel humide Aux mâts pourris de ses bateaux. Il me disait : Ne pleure pas, Demain la mer aura notre âge, Nous livrerons à notre rage Tous les pays que tu voudras.
Lire la suiteÀ l'automne du temps se peut-il que j'atteigne L'état, la perfection d'une lisse châtaigne, Qui, lasse d'endosser l'effroi du hérisson Devant la douce mort désarme sans frisson.
Lire la suiteMollement entr'ouverte au fond du val Grenade meurt d'un excès de fébrile féminité Y chante l'eau tranquille et la Sierra Nevade sur le dernier roi more exalte un front nacré.
Lire la suiteDéjà s'accumule un passé De mots de gestes encombré Et vainement j'y cherche un homme Un rôle à reprendre une voix Qui ne soit pas de fin décembre
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